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Comment vaincre la decrépitude du corps

ET FAIRE RECULER L’ECHEANCE DE LA MORT

 

L’incroyable expérience d’un savant biologiste pour RAJEUNIR

L’auteur de cette impressionnante étude de physiologie expérimentale apporte à l’Humanité une lueur d’espérance au milieu de la nuit profonde masquant les phénomènes de La Vie, de la Maladie et de la Mort.

En dévoilant les méfaits de l’hyperacidité alimentaire et autres erreurs diététiques des civilisés du XXe siècle, il montre les possibilités de reconstruire le corps humain, détruit avant le temps normal d’évolution biologique par la Floculation Cellulaire.

Ce biologiste prouve, par son exemple personnel que des hommes de 70 ANS, ne devront avoir dans l’avenir, en apparence et en réalité, que 40 ANS, quand ils seront éclairés sur les causes de leur décrépitude prématurée et des souffrances imméritées dont ils paient leur court passage sur la terre.

Défense et Illustration de la Médecine Naturelle dont G. Knap fut un des plus illustres représentants. Maladie et vieillesse sont synonymes. Préserver du mal ou de l’âge, guérir ou rajeunir procèdent des mêmes méthodes. Il n’y a de médecine que du général et de la sauvegarde organique.

La Médecine officielle, trop symptomatique, axée sur la lutte contre le microbe et les traitements locaux fait fausse route et contribue pour une large part à l’amoindrissement de l’état de santé des humains, au développement scandaleux de la chirurgie, et à faire de nous tous des vieillards à 40 ans.

Produits chimiques, sérums, vaccins n’apportent qu’une santé artificielle, et usent le capital des immunités naturelles, qu’on appelle VITALITE, RESISTANCE AUX MALADIES et LONGEVITE.

Je ne dirai pas pourquoi les « officiels » veulent faire taire les chercheurs libres ou les médecins non conformistes, et les poursuivent même devant les tribunaux. On en devine aisément les raisons : place, intérêt, honneur, réputation. Je répéterai simplement ce que je dis à chaque occasion :

 « Au nom de la Science, qui est la recherche du VRAI et au nom de la Morale qui est la recherche du BIEN, tout homme dont l’esprit est assez vif et observateur, animé du désir de recherche et de savoir, et qui peut, par ses dons naturels ou ses qualités acquises, apporter des méthodes nouvelles pour la protection de l’Etre humain ou sa guérison, doit le faire, en son âme et conscience, sans avoir à craindre les représailles d’une loi injuste et inhumaine qui prétend protéger autrui (et le fait si mal), car le diplôme ne garantit ni la valeur morale, ni la valeur scientifique du titulaire, et cela doit être ainsi, dans l’intérêt de TOUS, car tous nous avons droit à mieux vivre, et dans l’intérêt de chacun, car chaque malade a droit à la guérison d’où qu’elle vienne« .

G. Knap a souffert de cette injustice, traité de charlatan par les pontifes, traîné devant les tribunaux pour ses découvertes, il est mort de « chagrin », alors qu’il venait d’apporter la preuve la plus éclatante du « Rajeunissement » de l’Etre humain et qu’il aurait dû être considéré comme un des plus grands bienfaiteurs de l’Humanité.

Je suis arrivé à défendre la médecine naturelle alors que j’étais encore jeune étudiant en philosophie. Une épreuve, une des plus pénibles de ma vie, m’obligea à révoquer « en doute » tout l’enseignement médical officiel. Voici les faits : Il y a une vingtaine d’années, mon frère Roger fut atteint d’une double pleurésie qui dégénéra en tuberculose osseuse avec abcès à la cuisse. Deux ans plus tard, mon frère n’était plus malgré tous les spécialistes consultés et les grands maîtres payés à prix d’or. Les incertitudes, et les contradictions des médecins traitants n’avaient point cessé de sauter à mes yeux durant tout le traitement, mais mon trouble fut à son comble, lorsqu’un jeune professeur de Faculté, m’avoua, quelques jours après la mort de mon frère, que celui-ci avait été victime plus des médications subies que de sa maladie propre.

Une telle révélation me stupéfia. Comment se pouvait-il que des médecins (dont la tâche est de guérir) commencent par nuire, l’admettent en fin de compte, et ne font rien pour changer leur méthode meurtrière. Ma résolution fut vite prise, je jurai sur la tombe de mon frère de lutter pour une médecine plus humaine (non nuisible) et pour une médecine naturelle (rééducatrice des fonctions vitales), et de combattre avec la dernière énergie tous les flibustiers de la médecine chimique, néfaste et mutilante.

 Pour accomplir ma tâche, il me fallait des armes, abandonnant la philosophie, j’ai étudié pendant de longues années tous les auteurs anciens et modernes traitant de médecine naturelle, j’ai acheté à des prix astronomiques des ouvrages très rares, ai fait traduire des textes étrangers, ai compilé tout le savoir possible, ai vérifié les hypothèses énoncées, ai fait la synthèse des méthodes, et ai expérimenté sur moi-même tous les systèmes

LE DESTIN ALORS, SE CHARGEA DE ME METTRE A L’EPREUVE : C’EST LA MESURE DE TOUTES CHOSES. Mon fils, unique, fut atteint à 13 ans d’une leucémie grave (cancer du sang) et condamné par les plus grands professeurs à ne vivre que quelques mois.

Sachant l’impuissance des méthodes officielles, je lu appliquai sans hésiter celles qui étaient les miennes : régime, suc de plantes, chlorophylle, sérum marin et le lait d’une terre d’argile spéciale. Le résultat fut rapide. Evitant la transfusion du sang, mon fils fut guéri en moins d’un an.

Par la suite, j’ai répété sur d’autres malades ce même traitement avec plein succès, et perfectionnant et étendant mes méthodes j’ai sauvé de la mort des milliers de malades de toutes sortes abandonnés par la médecine officielle.

Je ne dis pas cela dans un but de gloire mais pour répondre à tous les malheureux qui m’écrivent chaque jour : « Pourquoi ne vous ai-je pas connu plus tôt » ; et pour qu’on ne me dise plus comme un malade un jour m’a dit :

« On peut vous accuser – Monsieur – de ne pas vouloir nous guérir puisque, le pouvant, vous ne voulez point vous faire connaître« .

Cela, en effet, est une accusation grave que de refuser de porter secours à son semblable lorsqu’on le peut (elle est punie par la loi).

Aussi, ai-je décidé, pour ne point être accusé de vouloir faire de l’argent de mes méthodes et des découvertes de mes amis, de les porter à la connaissance de tous, en publiant d’abord une revue de Médecine Naturelle, la première et la seule Revue française de l’époque, spécialisée en médecine naturelle ; et ensuite en écrivant des ouvrages sur les différentes méthodes naturelles et les travaux de

principaux biologistes ou médecins non conformistes ayant œuvré dans mon sens.

Aujourd’hui je réserve une étude à celui qui fut « le plus effarant génie contemporain« , suivant le mot du commandant Max Taillefer, et « le plus grand marchand de Miracles et d’Espérance des Temps Modernes« , j’ai nommé Gëorgia Knap, l’homme qui a changé de corps et de visage et a fait sur lui l’expérience la plus sensationnelle qui puisse exister en matière de rajeunissement.

Ce livre expose, donc, la méthode naturelle de Gëorgia Knap, et les idées de ce savant sur l’art d’entretenir la vitalité, source de longévité. https://www.editionschristineclaire.com/produit/quand-jetais-vieux/

 

 

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